Raphaëlle RISCHMANN et Guillaume HALBIQUE sont ont été cités dans l’article de Libération à lire ici.
Extraits :
« Les avocats de la défense, eux, plaident la relaxe. Non parce que leurs clients n’auraient rien fait, mais pour cause d’enquête «bâclée» : «Il n’y a aucune certitude pour savoir si tel mail a bien été envoyé par l’action de ces deux coprévenus, tacle Guillaume Halbique. On a une prévention qui ne définit absolument pas l’identité des victimes !» Quant aux faits de délinquance numérique proprement dite, les deux prévenus ont certes piraté des ordinateurs mais pas, comme le leur reproche l’ordonnance du juge d’instruction, des boîtes mail, insiste l’avocat. (…)
L’autre avocate de Jordan R. Raphaëlle Rischmann appelle le tribunal à «ne pas faire de ce dossier plus que ce qu’il est véritablement». »